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PÉTITION : oui à The Guy Who Sings Songs About Cities & Towns !!1!

Il y a toujours un moment d’excitation le jour de la sortie de la programmation. Je dis toujours, même si ce n’était que la deuxième fois que je le vivais pour les Quartiers d’hiver, mais on se comprend là. Je vais pas jouer avec les chiffres…!

Donc, c’est ça. Excitation. Whou! Le retour des Hôtesses d’Hilaire à Rouyn-Noranda! Yé je voulais voir Plants and Animals depuis longtemps! Hein? Dumas existe toujours? Pis SANS PRESSION? Wut?! Avec le soleil sortant de sa bouche? Cool nom, je dois aller voir de qui c’est que c’est eux autres! Bref, les réactions habituelles.

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Mais une petite déception. Comme à chaque sortie de programmation (j’inclus celles du FME aussi là dedans…). Déception grandissante de jour en jour, d’année en année. Déception de ne pas trouver le nom d’un artiste important pour Rouyn-Noranda. Important pour l’hymne qu’il y porte.

The guy who sings songs about cities & towns. LE gars qui chante Rouyn-Noranda comme un dieu. L’homme qui a su exprimer l’essence de cette municipalité en quelques vers. The guy qui a composé une mélodie envoûtante à l’image de ma ville d’adoption!

(écoute, réécoute et télécharge gratuitement la chanson en question juste ici)

farley RN

Magnifique chanson, frappante de vérité, que j’ai pu découvrir grâce à Paul-Antoine Martel de l’émission Futur Antérieur, sur les ondes de CFME durant la dernière édition du FME.

Grosso modo, The Guy Who Sings Songs About Cities & Towns c’est Matt Farley qui chante au sujet de villes et de villages. Mais sous d’autres noms, il chante au sujet d’autre chose. Comme de certains prénoms, ou d’animaux morts… Il a fait plus de 18 000 chansons. Parce que… parce que pourquoi pas? Bref, c’est de cette façon qu’il en est venu à décrire notre beau lac Osisko pollué dans lequel c’est correct de te baigner puisque l’hôpital est juste à côté pour te soigner (traduction libre, mais fiable!)

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Afin de surmonter ma déception qui se tourne en tristesse au fils du temps, je lance ici et maintenant, sur le fly, une pétition que je transmettrai à l’équipe du FME et des QH pour qu’ils et elles fassent venir Matt Farley! (J’ai des plugs, je connais une fille qui a déjà rencontré un gars qui a covoituré avec une fille qui travaille au FME comme bénévole, c’est chill!).

Pour signer ma pétition, vous n’avez qu’à laisser votre nom de commentaire, c’est facile facile! Merci de participer et de partager en grand nombre!1!

Luv RN <3 <3

Retour sur le dévoilement

C’était soir de dévoilement, hier, à la Taverne Saint-Sacrement, avenue du Mont-Royal. Comme d’habitude, les convives sont arrivés sur le tard, mais l’ambiance était bon enfant. Une bonne partie de l’équipe de la Bouche Croche était présente, tout comme de nombreux artistes programmés ou simplement des amis du festival qui ont eu l’occasion de s’y produire au cours des neuf dernières années.

Bref, une activité sociale comme on les aime, où ça parle fort et où le commérage, les anecdotes et les farces plates sont les bienvenus. Pour ma part, je n’ai pas manqué de rappeler à Sébastien (Dales Hawerchuk) que leur premier passage au FME, il y a de cela quelques années, avait donné lieu à des dérapages semi-contrôlés, disons.

Outre la présentation de la bande-annonce, il faut à tout prix souligner la vitesse expéditive à laquelle notre triumvirat (Sandy, Jenny et Pierre) a balancé son discours d’usage. On parle d’un bon deux minutes. À ne pas inviter dans un party avec Fidel Castro…

Sinon, c’était surtout l’occasion de faire découvrir aux médias l’étendue de la programmation, avec les grosses pointures, les découvertes, les valeurs sûres et j’en passe.
Fidèle à son habitude, Claude Deschênes était là pour un direct pendant le TJ Montréal. À voir ici, à la 42e minute.

Bye-bye passeports

Autre vitesse fulgurante que celle de la vente des passeports, qui sont disparus en l’espace d’une quinzaine de minutes, nous apprenait jeudi l’organisation sur sa page Facebook.
Quand on dit qu’il faut faire vite, c’est vrai.

Pour reprendre une expression que Jean Perron n’a jamais vraiment prononcée: «Ça s’est vendu comme des p’tits ponchos.»