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La saison des lancements

En cette fin d’été (soupir), plusieurs artistes sont dans leur sprint final de production d’album en vue de la saison des lancements qui approche. Au FME c’t’année, les festivaliers seront une fois de plus gâtés à ce niveau-là!

  • Random Recipe sortira son album Kill the hook le 8 octobre prochain. Ils seront en show ce jeudi 29 août au Diable Rond dès minuit et vous aurez la chance d’y entendre l’intégralité de leur nouveau record. Ça mes amis, c’est c’que j’appelle d’la chance!
  • L’album d’Alex Nevksy, Himalaya mon amour, atterrira pour sa part dans les bacs le 27 août (demain). Il lancera son album en sol abitibien ce vendredi 30 août dès 19h00 au Cabaret de la dernière chance. Parions que le bar sera plein à craquer!
  • Celui de El Motor verra également le jour ce mardi 27 août. La formation sera pour sa part en spectacle-lancement à l’Abstracto ce vendredi 30 août dès 17h00. Les 5 à 7 sont souvent pleins à craquer, arrivez tôt!
  • Finalement, Klô Pelgag lancera L’alchimie des monstres en format CD le 24 septembre prochain. Primeur toutefois pour le FME, elle y lancera son vinyle dimanche le 1er septembre à l’Abstracto.

Et qui dit nouvel album dit nouveau single et qui dit nouveau single dit nouveau vidéoclip. Voici quelques liens vers les derniers clips qui m’ont fait tripper récemment ou un peu moins récemment :

Voilà. Là-dessus, bon visionnement et surtout, bonne saison des lancements!

Le trait d’union

C’est ma 4e fois au FME. Je crois. Effectivement, pour une raison qui m’échappe, je ne me rappelle pas exactement de tout de mes passages à Rouyn. Sérieux, je suis sûr que c’est ma 4e visite au FME, mais j’ai un léger doute quand même. Il faut dire que je suis aussi venu souvent dans mon enfance dans la grande ville de Rouyn (j’habitais à la Baie James, alors hein, les adjectifs n’ont pas la même portée). Donc j’ai un petit flou concernant mes visites dans la capitale internationale du cuivre.

Peu importe au fond si ça fait 3 ou 4 FME que je vis, je sens un changement dans l’évolution de la bête. Ce qui est bon signe en général. Je crois qu’une partie de ce changement réside dans la nouvelle scission entre Rouyn et Noranda que le festival a réanimé… mais pour le mieux!

Comment un festival divise une ville en 2? C’est simple: les 5 à 7 à Rouyn, et le gros des spectacles de soirée à Noranda. Ce qui évite les va-et-vients d’un bord à l’autre de la ville à chaque demie heure (on ne maque plus de gros segemnts de spectacles dû à des déplacement). Mettons que je voudrais être poétique, mettons, je pourrais dire que le FME, c’est en fait le trait d’union de Rouyn-Noranda. Mais tsé, j’irais pas jusqu’à faire de la poésie, et surtout pas en faire le titre d’une chronique.

Un peu d’histoire (mais à peine)

Commençons par le commencement. Le nom de la ville.

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