Trésors de routier

Je me suis mise en mode touriste, afin de dénicher, pour vous, les trésors cachés de la 117.

La fromagerie Mt-Tremblant (2481 route 117, st-faustin-lac-carrée)
Parce que son fromage en grains est délicieux, pour ses produits régionaux et son coin boutique. Mais attention! La fromagerie se situe à St-Faustin, étrange!

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Le coin boutique

La ferme Louiselle et Gaétan Brassard (La Conception)
Parce que des légumes frais, c’est bon. Mais surtout pour son impressionnante variété de blés d’Inde. Connaissez-vous le truc du blés d’Inde au cooler?

Facile d’impressionner tes chums avec une douzaine de blé d’inde chauds dans ta valise de voiture….

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Restaurant La Gare (180, rue du dépôt, Labelle)
Parce que l’endroit est magnifique et qu’on a l’impression d’être chez un ami. Mais, surtout parce qu’on y mange bien. À titre d’exemple ; le pain et la confiture maison, les patates au gras de canard et la fameuse tarte pacane, bacon et Jack Daniels. L’ambiance extérieure nous rappelle l’époque de la gare : son wagon (qu’on peut visiter!) sa terrasse et la piste cyclable animent ce cul-de-sac. Surprenant de trouver ce bijou, ici! (no offense!)

imageConnexe au restaurant, on trouve un musée ferroviaire. C’est sympathique et gratuit. L’endroit vaut largement les 5 minutes de détour et nous permet de traverser le village qui a bien changé depuis que la route est contournée. Si je ne t’ai pas convaincu, tu peux aussi t’arrêter au resto Labelle époque, juste parce que t’aimes ça les jeux de mots.

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Le dépanneur de Grand Remous

On s’y arrête pour acheter des billets pour le plus cocasse des tirages. À gagner : une fesse de bœuf!

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Ce gentil couple vend des coupons de tirage, le sourire aux lèvres. Et ce, depuis 12 ans.


Les chutes Roland

Parce que c’est gratuit, pis c’est LA place pour un pique-nique. En moins d’une minute de marche, tu peux apprécier la beauté des chutes et des tables sont dispersées ici et là, le long des sentiers.

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magnifique vue à moins d’une minute de marche

La piste d’atterrissage (km 323)
Perdue en pleine forêt et abandonné. Disons que c’est assez spécial de se réveiller là, surtout si tu connais pas beaucoup le chauffeur.

Le domaine
Parce que c’est pas mal le seul endroit dans le parc qui t’offre de vraies toilettes pis parce que tu peux t’acheter un chandail de loup, une boîte aux lettres en forme de balle de 12 ou simplement manger quelque chose.

Et toi qu’est-ce qui te tente?

Bon retour !

Tinder aux temps du FME

L’autre jour, j’avais des projets de grandeur. Comme je venais au FME « toute seule » je m’étais dit que je pourrais m’organiser une couple de dates Tinder pendant le festival pour en parler ici, chaque jour. Comme une expérience sociologique. Et j’ai réalisé que ce qui est le fun au FME, c’est que les rencontres de vrai monde sont plus faciles qu’à peu près n’importe où.

Mais cette ambition-là de documenter mes dates festivalières a foutu le camp assez vite. C’est dommage pour vous; ça aurait pu être drôle. Je me suis connectée deux secondes, dans la cour du Cabaret de la dernière chance; toutes les faces que j’ai swipées m’étaient montréalaisement familières. Et ça me tentait p’us pantoute.

CHRONIQUE PIERRE GINGRAS 10 MAI 2006J’ai remarqué une affaire : avec à peu près tous les gars que je rencontre IRL – in real life, pour les nostalgiques de mIRC –, on finit par parler de nos façons respectives d’utiliser Tinder. Je sais pas ce qu’en penserait Marc Boilard.
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Où j’ai encore parlé de Tinder

D’ailleurs, hier après-midi, la gang d’Urbania m’a invité à dire des niaiseries à son « Festival de la santé » à CFME, où j’ai pu essayer d’avoir l’air pertinente en soulignant l’écart entre le bien-être moral et la forme physique qui viennent avec le FME. Mais bien sûr, on s’est aussi mis à parler de Tinder. Et de l’importance de s’hydrater sans tomber dans la potomanie.

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Je compte bien vous faire un petit retour plus cohérent que ça après m’être reposée un peu. Il reste encore une soirée – de laquelle j’entends bien profiter malgré l’usure de mon corps –, mais j’ai déjà commencé à faire le point, hier, en mangeant un combo de pâtes Alfredo fades et de pizza graisseuse dans un restaurant très sombre. Il y a quelque chose de poétique dans le fait de décider d’aller souper toute seule chez Mikes. Non?