Archives de catégorie : Josée

ASV, please.

Fait que t’as peut-être vu passer un ou deux de mes textes l’an dernier sur La bouche croche. Ou pas. Parce que j’en ai écrit très peu, j’ai manqué d’temps. Mais c’t’année, attelles-toé, m’a avoir rien que ça à faire, te raconter des belles affaires. Pour faire une histoire courte, je suis in love avec le FME depuis quatre ans déjà. J’y ai fait mon stage en 2010 pis j’y suis restée à titre de Responsable des communications en 2011 et 2012. J’aurais bien voulu poursuivre l’aventure cette année encore mais mon chouette boulot à l’année dans un label oblige, j’ai dû me contenter du titre de Rédactrice en chef de La bouche croche. Pis yo, j’suis vraiment contente du rôle que j’ai cette année. J’ai toujours aimé écrire. De pouvoir le faire dans le cadre d’un Festival, c’est comme le master bonbon. Fait que lecteur, lectrice, j’vais essayer du mieux que j’peux de te divertir.

Sans vouloir dévoiler nos punchs, t’sais, mes collaborateurs et moi avons l’intention de se lâcher lousse, de vous raconter des anecdotes juteuses pis d’essayer du mieux qu’on le pourra d’immortaliser en mots et en images cette prometteuse 11e édition. Aussi, soyez pas surpris ni gênés si on vous aborde sur la 7e Rue pour recueillir vos impressions ou vous jasez ça. On veut échanger avec toi, festivalier! Si vous avez des trucs à nous raconter qui méritent d’être publiés, si vous avez simplement envie de nous raconter vos états d’âmes ou si vous égarez une sandale pendant un show pis que vous cherchez désespérément à la retrouver, n’hésitez pas à nous écrire à [email protected]. On se fera un plaisir de vous lire et qui sait, peut-être de publier vos anecdotes de festival en ligne, sur le blogue.

Si j’me fie aux éditions précédentes, j’pense qu’on risque d’avoir ben du fun encore c’t’année. J’veux pas que tu te fasses trop d’attentes t’sais, la déception étant un feeling de marde. Mais le FME c’est un peu comme la Mercedez des festivals. À défaut de vouloir (pouvoir, parce que c’pas donné c’te bagnole, hein!) le posséder, tu veux vraiment y assister. La bouche croche servira donc à essayer de le faire vivre à ceux qui ne peuvent y assister pis à remémorer des bons souvenirs à ceux (pour ne pas dire aux chanceux) qui auront été avec nous icitte à Rouyn.

Fait que cette année, once again, le mot d’ordre sera PLAISIR. Ayons du fun, tous ensemble, pis gênez-vous pas pour commenter nos posts parce que ce blogue là, c’est pour vous autre qu’on l’alimente.

Bon festival à tous!

Nouvelles de Rouyn : 2e édition.

Vendredi

M’a dire comme le gars « c’est pas les trucks Jean Légaré qui manquent à Rouyn en fin d’semaine ». Eh oui, le Festival a starté en grand hier soir (jeudi) dans le Vieux Noranda avec le très beau cortège d’ouverture. Je dis ça mais j’y étais pas, j’ai vu des photos. J’était partie avec Lisa LeBlanc, on est allé faire catiner sa guitare avant son show parce qu’elle « buzzait », que Lisa disait. Ça pris une couple de minutes, ce sont dit devant moi des mots que je comprenais fuckall. Les deux coudes accotés sur le case de guit de Lisa, je les regardais (le réparateur de guit pis Lisa) se passer l’instrument pour essayer de mettre la main sur le ti bobo. Des cordes neuves plus tard et la recommandation de mettre un boute de carton devant l’espèce de trou rond (crime que je connais rien à l’anatomie des guitares man), on s’est dirigé vers la 7e Rue où le 5 à 7 d’ouverture était déjà commencé. Les DJ français Alex et Kem ont contribué au réchauffement de l’asphalte en faisant « grouiller » (verbe inspiré du terme grouillade, vous aurez catché) les gens visiblement fébriles en vue du premier gros show du Festival.

Continuer la lecture de Nouvelles de Rouyn : 2e édition.