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ASV, please.

Fait que t’as peut-être vu passer un ou deux de mes textes l’an dernier sur La bouche croche. Ou pas. Parce que j’en ai écrit très peu, j’ai manqué d’temps. Mais c’t’année, attelles-toé, m’a avoir rien que ça à faire, te raconter des belles affaires. Pour faire une histoire courte, je suis in love avec le FME depuis quatre ans déjà. J’y ai fait mon stage en 2010 pis j’y suis restée à titre de Responsable des communications en 2011 et 2012. J’aurais bien voulu poursuivre l’aventure cette année encore mais mon chouette boulot à l’année dans un label oblige, j’ai dû me contenter du titre de Rédactrice en chef de La bouche croche. Pis yo, j’suis vraiment contente du rôle que j’ai cette année. J’ai toujours aimé écrire. De pouvoir le faire dans le cadre d’un Festival, c’est comme le master bonbon. Fait que lecteur, lectrice, j’vais essayer du mieux que j’peux de te divertir.

Sans vouloir dévoiler nos punchs, t’sais, mes collaborateurs et moi avons l’intention de se lâcher lousse, de vous raconter des anecdotes juteuses pis d’essayer du mieux qu’on le pourra d’immortaliser en mots et en images cette prometteuse 11e édition. Aussi, soyez pas surpris ni gênés si on vous aborde sur la 7e Rue pour recueillir vos impressions ou vous jasez ça. On veut échanger avec toi, festivalier! Si vous avez des trucs à nous raconter qui méritent d’être publiés, si vous avez simplement envie de nous raconter vos états d’âmes ou si vous égarez une sandale pendant un show pis que vous cherchez désespérément à la retrouver, n’hésitez pas à nous écrire à [email protected]. On se fera un plaisir de vous lire et qui sait, peut-être de publier vos anecdotes de festival en ligne, sur le blogue.

Si j’me fie aux éditions précédentes, j’pense qu’on risque d’avoir ben du fun encore c’t’année. J’veux pas que tu te fasses trop d’attentes t’sais, la déception étant un feeling de marde. Mais le FME c’est un peu comme la Mercedez des festivals. À défaut de vouloir (pouvoir, parce que c’pas donné c’te bagnole, hein!) le posséder, tu veux vraiment y assister. La bouche croche servira donc à essayer de le faire vivre à ceux qui ne peuvent y assister pis à remémorer des bons souvenirs à ceux (pour ne pas dire aux chanceux) qui auront été avec nous icitte à Rouyn.

Fait que cette année, once again, le mot d’ordre sera PLAISIR. Ayons du fun, tous ensemble, pis gênez-vous pas pour commenter nos posts parce que ce blogue là, c’est pour vous autre qu’on l’alimente.

Bon festival à tous!

Tu suite ou jamais : Harvey Métal, une femme assez timide, se présente à vous, peuple du FME.

Le FME, on trouve ça court, alors cette année, on commence à énarver le monde plusieurs jours en avance. Mais moi je suis certaine que tu es content. Oui, je t’interpelle, toi qui as déjà sorti tous tes bocks de bière des années précédentes pour les aligner chronologiquement sur ton comptoir, toi qui laves soigneusement tes t-shirts FME juste au niveau des dessous de bras pour qu’ils s’usent moins vite, toi, festivaleux FME!

J’espère que tu me connais déjà (non? diantre!) et que tu n’hésiteras pas à manifester ton amour pour moi en public durant le FME, mais sinon, je me présente :
J’ai grandi à Rouyn-Noranda, c’est bien là que j’ai fumé mes premières cigarettes et que je me suis même faite arrêter pour conduite sans posséder de permis de conduire. Je n’ai pas retouché à une voiture depuis. J’avais 16 ans et je sortais de la Moderne, endroit mythique qui a existé à un moment donné, dans une autre dimension.

J’ai travaillé 6 ans dans des magasins de musique : Musique Mignault à Rouyn-Noranda et Archambault à Québec. J’ai aussi eu la chance d’animer un beau programme de télévision sur Cablevision dans lequel on parlait de musique (c’est pas des farces). Je termine un bac en traduction en Ontario (le pays à côté du nôtre), et je fais de la poésie (cherchez sur Poemesale.com, le seul site game de me publier). Je suis une fan finie de Nick Cave, de Bruce Springsteen et de Renaud, et je déteste le snobisme musical élitiste : si je trouve ça bon, c’est bon. Je me fous de ce que le monde pense. Je ne suis pas hipster, je ne suis pas cool : je suis fantastique. Et j’aime le FME en Jésus-Christ parce que tout le monde qui y va est fantastique (ajoutez des images de licornes dans vos têtes pour maximiser la fantasticité de cet énoncé).

Cette année, je veux entendre des histoires de fou sur le FME, envoie-moi tes trucs à l’adresse [email protected] et tu gagneras… mon admiration? Un bec? Une poutine chez Morasse? Si tu me vois dans la foule et que tu as une anecdote solide sur le FME et bien je veux l’entendre!!! Ne te gêne pas! Tu sais tout comme moi que les Métals sont des tendres (exemple : Monsieur Campbell; il est doux, non?)

À partir de maintenant, tu peux suivre mes aventures (et les tiennes!) sur La bouche croche et tenter de te préparer comme du monde.

Dans le prochain billet : quoi ne pas faire dans ton poncho de pluie et autres conseils nécessaires à ta survie de festivaleux.

Harvey Métal , une fille pour qui on a écrit « J’aime Audrey » sur le cap des couleurs en 1993.