Archives de catégorie : FME12

Branchez-vous sur CFME

À quelques jours du coup d’envoi de la 10e édition du FME, il est possible (et souhaitable) d’assouvir sa soif de nouveautés, de découvertes et de valeurs sûres en syntonisant CFME, la radio du FME. Résidants du Grand Rouyn-Noranda, ça se passe au 91,9 FM. Peuples de la Terre, rassurez-vous: CFME est disponible en streaming sur le web en cliquant ici!

AJOUT: Ou écoutez CFME directement ici!

[audio:http://radio.uqat.ca:8000/cfme.mp3]

Retour sur le dévoilement

C’était soir de dévoilement, hier, à la Taverne Saint-Sacrement, avenue du Mont-Royal. Comme d’habitude, les convives sont arrivés sur le tard, mais l’ambiance était bon enfant. Une bonne partie de l’équipe de la Bouche Croche était présente, tout comme de nombreux artistes programmés ou simplement des amis du festival qui ont eu l’occasion de s’y produire au cours des neuf dernières années.

Bref, une activité sociale comme on les aime, où ça parle fort et où le commérage, les anecdotes et les farces plates sont les bienvenus. Pour ma part, je n’ai pas manqué de rappeler à Sébastien (Dales Hawerchuk) que leur premier passage au FME, il y a de cela quelques années, avait donné lieu à des dérapages semi-contrôlés, disons.

Outre la présentation de la bande-annonce, il faut à tout prix souligner la vitesse expéditive à laquelle notre triumvirat (Sandy, Jenny et Pierre) a balancé son discours d’usage. On parle d’un bon deux minutes. À ne pas inviter dans un party avec Fidel Castro…

Sinon, c’était surtout l’occasion de faire découvrir aux médias l’étendue de la programmation, avec les grosses pointures, les découvertes, les valeurs sûres et j’en passe.
Fidèle à son habitude, Claude Deschênes était là pour un direct pendant le TJ Montréal. À voir ici, à la 42e minute.

Bye-bye passeports

Autre vitesse fulgurante que celle de la vente des passeports, qui sont disparus en l’espace d’une quinzaine de minutes, nous apprenait jeudi l’organisation sur sa page Facebook.
Quand on dit qu’il faut faire vite, c’est vrai.

Pour reprendre une expression que Jean Perron n’a jamais vraiment prononcée: «Ça s’est vendu comme des p’tits ponchos.»